INTERVIEW – Faut‑il repenser les tests d’innovation ?

Qu’il s’agisse d’innovation de rupture ou d’innovation incrémentale, François Abiven, directeur de Repères, est convaincu de la puissance du test and learn, d’autant plus si ce dernier se base sur les émotions des consommateurs.

Dans un contexte social en perpétuel mouvement, il n’est pas toujours évident pour les entreprises historiques implantées sur le marché de faire preuve d’innovation. Comment l’évolution ou l’apparition d’un concept sera‑t-il perçu, accueilli, adopté… ? Pour répondre à ces questions, la tolérance des consommateurs aux changements doit être mesurée et prise en compte dans le processus d’élaboration et la promotion de nouveaux concepts.

Afin d’effectuer des « screening de concepts » pertinents, l’institut Marketing Repères classe donc les consommateurs selon leur relation à l’innovation. Parmi eux les pionniers, les suiveurs, les retardataires et les résistants, qui diffèrent évidemment d’un secteur à l’autre. Une méthode qui a fait ses preuves, basée sur les travaux du sociologue et statisticien Everett Rogers, célèbre pour sa théorie sur la diffusion des innovations.

Après cette étape clé, c’est au tour de l’outil R3m Score d’entrer en jeu, une solution d’analyse unique créée et développée chez Repères qui permet d’analyser le niveau d’activation émotionnelle et de prédire les comportements des différentes typologies de consommateurs face à ces innovations.

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Pour en apprendre plus sur la meilleure façon de booster le taux de réussite de vos innovations, nous vous invitons à lire l’interview complète de François Abiven sur le site MR news, l’e‑mag des chasseurs d’insights et de la people centricity 

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